Le constat sur le Grand Figeac est le suivant : une population vieillissante, une baisse tendancielle du nombre de médecins (moyenne d’âge sur le Lot de 54 ans) avec, à contrario, un afflux du nombre de patients (situation de « burn-out » pour les praticiens figeacois), plus de spécialistes que de généralistes, pas d’installation de jeunes médecins (lié à un manque d’attractivité rurale, des situations d’isolement, difficultés pour l’emploi du conjoint…), et un numérus clausus, jugé « sévère », qui portera ses effets tardivement (en fin du cycle d’études dans 8 ans).
Un article de Laetitia Bertoni, dans la Dépêche.fr : Contrat local de santé, le diagnostic est posé